vendredi 26 mars 2021

test art de la photographie



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SECTION 1 

Présentation 
Chapitre 1 - Ma première photographie
Chapitre 2 - Mes appareils photographiques
Chapitre 3 - Le souvenir par la photo
Chapitre 4 - L’ art du portrait
Chapitre 5 - L’ art du paysage
Chapitre 6 - L’ art du reportage
Chapitre 7 - Mes meilleures images
Chapitre 8 - L’avenir de la photographie
Chapitre 9 - Suggestions de lecture




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PRÉSENTATION

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J'ai photographié,  au cours de ma vie de photographe, plusieurs événements de calibre international dont les compétitions équestres de l’International de Bromont, les Omniums de tennis du Canada (Coupe Rogers) et les Grands Prix F1 du Canada ainsi que des centaines de personnalités telles Isabelle Adjani, Céline Dion, René Angélil, Gérard Depardieu, Julie Depardieu, Sophia Loren, Brian Mulroney, Stephen Harper, Rafael Nadal, André Agassi, Donald Trump et plusieurs autres. 
Mais mes plus belles photos sont probablement celles sans bruit et intimes comme de simples couchers de soleil, les arbres de la forêt ou tout simplement l'ami(e) m'offrant son  sourire.
Ma passion première a toujours été la photographie!

J'évalue ma collection de photographies à plus de 100 000 images prises depuis mon adolescence, sur film, diapositives ou en numérique. 
Ma mère Anita Cyr, photographe amateur, a été mon inspiration. Chaque année, elle photographiait la famille devant la maison avec son appareil KODAK format film 620. 
(Voir sa collection de photos sur sa page web  https://www.lestudio1.com/AnitaCyr.html )

Parmi les grands photographes du monde qui ont été mes maîtres à penser, mon favori demeure Yousuf Karsh (1908-2002). Je l'ai d'ailleurs rencontré à quelques reprises au Château Laurier où il avait son studio et alors que j'habitais à Ottawa (1984). Il est pour moi encore aujourd'hui une source de profonde inspiration. On ne le dit pas publiquement, mais quiconque connait sa technique sait qu’il était un précurseur de Photoshop et il avait un assistant à plein temps pour retoucher avec des pinceaux et des couleurs les plaques de verre servant à l’impression de ses photos.

Au niveau de l'équipement photographique, j'ai fait mon apprentissage avec un simple Instamatic Kodak 126 et malgré sa simplicité, cet appareil accomplissait des miracles et quelques-unes de mes meilleures photos ont été réalisées avec cet appareil. 
Par la suite, j'ai découvert le film 35 mm et j'ai longtemps utilisé un Minolta X-700 avant de passer à divers boitiers Nikon dont le F5 et quelques boitiers numériques dont le Nikon D300. 
J’ai ensuite utilisé des outils beaucoup plus légers dont le but principal était de profiter pleinement du numérique et des médias sociaux sur l'Internet et surtout avoir un appareil photo léger et toujours avec moi. J’ai utilisé une bonne dizaine de modèles compacts Canon G Powershot. 
Mais aujourd’hui en 2021, les appareils que je considère les plus efficaces pour ma photographie sont les iPad et iPhone d'Apple. 
Il y a bien sûr aussi, les fameux programmes Photoshop, Affinity, Apple Photo et Google Image pour le traitement des images. Tous les photographes, du moins tous ceux que je fréquente, transforment leurs images après la captation.

J'adore la photographie et pour moi, cette forme d'expression est un moyen de rejoindre et de découvrir l'âme, des formes vivantes comme les humains ou les animaux, ou des formes fixes comme les objets ou les paysages, et ce partout dans le monde! 

«Si les yeux sont le miroir de l'âme pour les humains et les animaux, la photographie est un regard sur l'âme dans toutes les formes !» 

La photographie est un bel art, pour moi le plus beau des arts!

Vous retrouverez ici quelques-unes des images parmi les milliers de ma collection et quelques réflexions et pensées personnelles sur l'art de la photographie.

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Ma mère Anita Cyr  - (1922-2005)

L’appareil photo de ma mère, un Kodak film format 620 
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1- MA PREMIÈRE PHOTOGRAPHIE
 

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J'ai grandi entouré de jouets et en particulier des petites figurines.
J'imaginais des histoires dignes du cinéma mettant en scène les personnages représentés par mes figurines.
Ces jeux d'enfance ont beaucoup influencé ma photographie et plusieurs de mes photos utilisent encore aujourd'hui des figurines ou des objets qui deviennent animés dans mes photos.

Ma toute première photo, que je me souviens d'avoir montrée fièrement à ma famille, était celle d'un orignal en plâtre que j'avais placé dans la verdure de la maison de mes parents en Gaspésie à Saint-Siméon de Bonaventure en 1972. Mon oncle, un chasseur d'orignal, était impressionné et il me demanda l'endroit ou une pareille bête se terrait. Je lui ai rapidement avoué le montage...
Il était déçu, mais son admiration pour ma photographie était demeurée et il m'avait chaleureusement félicité pour ma mise en scène disant qu'il avait été convaincu que l'orignal était bien vivant.
Ma première photo de l'orignal en plâtre était en noir et blanc, mais je la reprendrai l'année suivante en 1973 sur film couleur avec mon Instamatic.


Photo en noir et blanc de l'orignal en plâtre (1972)


Photo sur film couleur de l'orignal en plâtre (1973)


Mon premier appareil photo, un Kodak Brownie usagé et le film  620
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2- MES APPAREILS PHOTOGRAPHIQUES

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Mon premier appareil photo vers 1972 était un modèle Brownie 620 usagé, format de film comparable à celui de ma mère, qu'un ami de la famille m'avait donné et que j'avais dû complètement démonter et nettoyer. 
Les photos en noir et blanc de l'orignal furent prises avec cet appareil.
Mais j'ai rapidement fait l'acquisition de mon premier appareil neuf vers 1973, un Instamatic X15.
Je me souviens encore de l'avoir commandé par catalogue du magasin Eaton's et de l'avoir reçu une semaine plus tard par la poste.
Cet appareil fut véritablement celui qui m'a fait aimer la photographie et avec lequel j'ai pu découvrir le plaisir de créer des images photographiques.
             




Mon premier appareil photo à neuf, un Kodak Instamatic X-15 avec film en cassette 126
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En photographie, il existe deux écoles. Celle de ceux qui ne jurent que par leurs appareils et leurs équipements et l'autre école où la caméra a peu d'importance et c'est l'imagination et l'oeil du photographe qui détermine le résultat final de l'image. 
Personnellement, je suis entre les deux écoles de pensée. 
Il faut un minimum de technologie pour bien capter et transformer la lumière, mais au-delà d'une certaine qualité, la différence est invisible pour le regard. Ceci est particulièrement vrai si vous ajoutez au travail de captation celui du traitement par un programme comme Photoshop, Affinity, Apple ou Google.

J'ai commencé ma photographie en noir et blanc avec les films Brownie 620.
Il fallait alors envoyer ses films pour développement par la poste à des entreprises comme Directs Films et nous recevions deux semaines plus tard une enveloppe avec les photos sur papier.
L'expérience était longue, mais excitante. L'anticipation et l'attente de voir le résultat de nos photos étaient même aussi comme un prolongement du plaisir de faire de la photographie.

Lorsque j'ai fait l'acquisition de mon premier appareil neuf Kodak Instamatic, je suis aussi passé à  la couleur, car le concept des Instamatics avec les films en cassette favorisait le développement des épreuves papier en couleur par les laboratoires.

J'adorais la technologie Instamatic et je ne l'aurais jamais quitté si je n'avais pas été forcé de la faire lorsque je suis devenu journaliste pour la télévision locale en Gaspésie (CHAU-TV Carleton).
À l'époque, on illustrait les reportages télé avec des images fixes en format film diapositive 35 mm que le technicien développait sur place à la station le jour même. Comme jeune journaliste, on m'invitait à prendre des photos de mes reportages, mais il fallait utiliser le film 35 mm. Je me suis donc procuré un appareil de ce format que j'avais acheté dans une bijouterie locale. Un modèle à lentille fixe, un MAMIYA 135. Le technicien de la station de télévision n'était pas super impressionné par l'appareil comme tel, mais celui-ci fonctionnait au format 35 mm et cela était amplement suffisant pour les besoins de mon travail de journaliste.


Mon premier appareil photographique format 35 mm, un modèle japonais MAMIYA 135
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Le passage au 35 mm m'inquiétait, mais je réussis à le découvrir tranquillement même si cela demandait plus de travail d'ajustement de l'appareil comparé à la technologie Kodak Instamatic.
Avec le film 35 mm, on devait lire la lumière pour ajuster les deux mécanismes (ouverture de la lentille et vitesse du déclencheur) avant de déclencher la prise de photo.
Avec Instamatic, il suffisait de déterminer s'il y avait suffisamment de lumière naturelle ou sinon d'utiliser un cube flash. 
Avec le 35 mm, c'était comme conduire une voiture à vitesses manuelles...

Mon premier appareil 35 mm de base m'ouvrira cependant le monde de la photographie et il m'amènera vers un appareil plus sophistiqué, un modèle Minolta X-700.

J'ai beaucoup appris en photographie avec le Minolta X-700, acheté au Woolco de Moncton en 1982.
J'utiliserai d'ailleurs cet appareil jusqu'en 1997, soit 15 ans.



Mon appareil Minolta X-700
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L'avantage du X-700, un appareil pour films 35 mm, était que je pouvais changer les lentilles et utiliser des zooms.
C'était un appareil très performant compte tenu de la technologie de l'époque et dans les années 1980 Minolta était très présent dans le marché des appareils photo. Le modèle X-700 était l’un des 
appareils haut de gamme de la marque.
J'ai utilisé cet appareil pendant plus de 15 ans, entre 1982 et 1997.
J'adorais les possibilités que m'offrait cet appareil.
J'ai regretté l'avoir vendu lorsque j'ai fait l'acquisition de mon Nikon F5.
J'ai vécu plusieurs moments importants de ma vie alors que j'utilisais le Minolta X-700.
La naissance de mes enfants en 1982 et 1983; l'élection de Brian Mulroney en tant que premier ministre du Canada le 4 septembre 1984 à Baie-Comeau; mon fils David a pris sa première photo avec cet appareil; et j'ai photographié l'anniversaire de Pierre Péladeau le 10 avril 1997 alors qu'on lui avait offert la visite d'une actrice imitant Marilyn Monroe...


Brian et Mila Mulroney - Baie-Comeau (4 septembre 1984)


Bernard Bujold - autoportrait  (Octobre 1984)


Anniversaire de Pierre Péladeau ( 10 avril 1997)


Première photographie prise par mon fils David à Ottawa  (1985)
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Si la marque Minolta était respectable parmi les photographes professionnels, la marque Nikon était plus respectée et considérée comme vraiment professionnelle!
Lorsque j'étais adjoint au premier Ministre du Canada en 1984, je discutais souvent avec le photographe officiel qui utilisait deux boitiers Nikon FM2, appareils que j'admirais et convoitais.


Appareil Nikon FM2 - 1984
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Je ne ferai cependant l'acquisition de mon premier Nikon que vers la fin de 1997, un modèle amateur, mais performant, un F90, appareil pour film 35 mm.
Pourquoi avoir attendu aussi longtemps entre 1982 et 1997?
L'usage de mon Minolta, un appareil performant, répondait amplement à mes besoins.
Mon acquisition d'un appareil Nikon en 1997 était plus pour joindre une communauté plutôt que de combler un besoin réel en performance de l'appareil.
Il faut comprendre que lorsque l'on photographie, durant notre captation, le sujet photographié et les autres photographes ont la tendance de juger notre valeur selon notre équipement.
Je me souviens d'un photographe qui expliquait au vendeur qu'il voulait s'acheter un Nikon haut de gamme uniquement pour réconforter ses clients qui ne le prenaient pas au sérieux parce qu'il utilisait un appareil d'une autre marque moins connue.
De plus, dans les conférences de presse, un photographe qui n'utilisait pas un appareil haut de gamme était aussi perçu par ses collègues comme un amateur.
Je me suis donc procuré un Nikon pour paraître un peu plus professionnel, mais le photographe officiel du premier ministre m'avait toujours dit que je n'avais aucunement besoin d'un appareil Nikon pour être un bon photographe.
Disons cependant, en ce qui concerne mon premier Nikon, que la puissance du flash recommandé par le fabricant pour l'appareil photo, un Nikon SB-26, est venu améliorer de beaucoup les possibilités de ma photographie en intérieur, comparé aux possibilités du Minolta.
Mon acquisition n'avait pas été un gaspille...


Appareil Nikon F-90
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L'équipement photographique est comme une drogue pour les photographes et un certain nombre espèrent toujours améliorer leurs résultats si on fait une nouvelle acquisition.
Personnellement, j'ai toujours adoré visiter les magasins d'appareils photo pour essayer les nouveaux modèles et surveiller les aubaines, mais je n'ai jamais voulu aller dans la direction des appareils les plus performants et les plus dispendieux. C'était aussi une question de budget. Pour moi la photographie fut un loisir jusque dans les années 1997 et non un travail professionnel.
Cela est parfois vrai qu'un meilleur appareil va améliorer notre photographie, mais généralement, la qualité de l'image est plus une question de vision du photographe et de style que de technologie.
J'aime dire qu'il y a deux façons de faire de la photographie.
Une façon qui nous procure du plaisir un peu comme conduire une voiture sport et une deuxième façon qui est de produire une image selon notre vision et selon laquelle les outils (caméra, lentilles et flash) ne sont que complémentaires.
On pourrait identifier la première façon par le terme:"FAIRE DE LA PHOTO"; et la deuxième façon par le terme:" FAIRE DES PHOTOS".

Durant les années 2000, c'est donc la réputation des appareils de marque Nikon sur film, et beaucoup le désir d'impressionner mes collègues photographes, qui m'a amené à me procurer un boitier de haut de la gamme, un modèle F5 avec une lentille zoom 70-200 mm. Le but était aussi d'être bien équipé pour faire de la photo de reportage alors que j'effectuais un retour en journalisme professionnel.
La puissance de l'appareil était évidente, mais je me suis rapidement rendu compte que tout cet équipement constituait cependant une charge trop lourde à transporter surtout pour quelqu'un qui fait de la photo de reportage. Imaginez devoir circuler à pied sur un circuit de course automobile comme celui Gilles Villeneuve à Montréal avec un sac photo pesant facilement 7 kilogrammes (15 livres) sous un soleil brûlant...
Plusieurs autres photographes se plaignaient eux aussi de la lourdeur de leur sac, mais certains y photographes y voyaient un outil pour traverser une foule ou éloigner les autres journalistes qui voulaient se placer devant eux alors que le sac servait de bouclier...
Un ami, ancien photographe officiel au Festival des Films du Monde de Montréal, m'a déjà confié qu'il se servait régulièrement de son lourd appareil avec une lentille 70-200 mm comme un outil très utile pour traverser la foule...



Appareil Nikon F5 et sac photo pour le transport de l'équipement
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Je peux affirmer avoir vécu la de la disparition de la photographie sur film et la naissance de la photographie numérique. Tout s'est déroulé en l'espace de quelques mois en 2004. 
Pour le prouver, je n'ai qu'à regarder la date du commencement de mes archives en numérique
Le dossier numéro 1 a été photographié (date ) .
J'ai été très timide dans l'adoption de la photographie numérique malgré le fait que j'en reconnaissais l'avantage.
La principale différence en numérique est la réduction du coût de l'opération photo.
En photo sur films, il faut acheter la pellicule et la faire développer en laboratoire, la photo numérique est pour ainsi dire gratuite. La limite de 24 ou 36 poses par films est également éliminée.
En moyenne durant un reportage photo avec films, je pouvais utiliser trois ou quatre films de 24 poses (75 à 100 photos). Il en coûtait en moyenne une vingtaine de dollars pour le film de 24 poses et son développement par un laboratoire.
En numérique, sur une carte mémoire, je pouvais facilement prendre jusqu'à 200 ou 300 images et sans aucun coût de développement.
En plus, l'on peut vérifier la qualité des images sur place et le traitement après captation peut se faire immédiatement avec l'ordinateur.
Mon premier appareil numérique était un Canon Elph avec lequel j'ai expérimenté par des photos sans raison autre que de m'amuser, mais je me suis rapidement rendu compte que l'avenir était dans cette technologie surtout avec l'évolution de l'internet (les médias sociaux ne viendront que plus tard en 2005-2006)
J'étais triste et opposé à l'abandon de la photographie sur film, car je m'étais équipé de façon assez complète pour la photo traditionnelle avec des investissements financiers significatifs de plusieurs milliers de dollars.
Un seul boitier haut de gamme pouvait valoir en 2004 jusqu'à 3,000$ et des lentilles valaient en moyenne 1,000$ chacune. On peut évaluer entre 5,000 et 10,000 dollars le coût moyen du sac d'équipement des photographes de l'époque.
De plus, en 2004, les appareils photo numériques débutaient et leur capacité n'était pas encore celle des appareils sur film.
J'ai fait l'acquisition de quelques modèles numériques Nikon dont un D70 et D200, mais je me suis arrêté au modèle D300, un modèle moyen en qualité de la gamme dans la marque Nikon. 
Pendant plusieurs années, d'autres photographes avaient quitté Nikon pour rejoindre Canon et
j'ai voulu profiter du changement d'époque en technologie photo pour essayer les appareils Canon. Les appareils Nikon ont toujours été considérés comme plus robustes et parfaits pour la photo de reportage, mais la qualité des images Canon était mieux appréciée des photographes qui disaient la gestion de la lecture de la lumière par les appareils Canon supérieure à Nikon.
Après la lecture d'un reportage dans Paris Match où une photographe disait faire toutes ses photos avec un Canon G9, j'ai décidé d'essayer cette catégorie et je me suis procuré un premier Canon G10, un modèle à lentille fixe.
J'ai été définitivement séduit et même si je regrettais l'époque du Nikon F5, j'ai graduellement abandonné la marque pour adopter Canon en permanence. 
J'utiliserai une dizaine de modèles différents de la série Canon G et à chaque ajout, la capacité de l'appareil était augmentée soit au niveau de la mise au point ou de la gestion de la lumière.
Un modèle comme le G3 offre même un zoom intégré pouvant atteindre 600mm. J'ai pu capter la lune avec ce modèle.
Ma dernière acquisition fut un modèle G7X Mark II, appareil très performant et surtout très compact. On peut facilement le transporter dans une poche de veston ou de pantalon et toujours l'avoir avec nous.
L'adage des photographes est que le meilleur appareil photo est celui que l'on a avec soi au moment où l'image se présente à nous...
Le Canon G7X répond parfaitement à cette nécessité.
Par ailleurs, l''un des grands avantages de la technologie numérique est la rapidité à traiter les images après la captation. La popularité de Photoshop a définitivement bondi dans les années 2005 alors que tous les photographes, ou presque, l'ont adopté.
En ce qui me concerne, je suis un fervent usager de la technologie Photoshop, Affinity et Google Image.
Toute ma photographie tourne autour du traitement après captation.
Cette technologie de traitement après captation n'est pas nouvelle en soi, mais son accessibilité l'est.
On peut comparer Photoshop à un atelier de peintre avec des pinceaux et des couleurs.
Le concept Photoshop est inspiré du dessin et de la peinture.
Rappelons que Yousuf Kash peignait ses négatifs photo et même ma mère utilisait le concept, car elle dessinait sur ses photos, notamment des cheveux qu'elle ajoutait à mon père. Ce dernier s'était dit insulté lorsqu'il en avait fait la découverte...



Bernard Bujold - autoportrait (2005)
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Quelques unes de mes caméras digital dont mon modèle favori le Canon G7X mark II
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La photographie numérique a définitivement conquis le monde lorsque les téléphones cellulaires ont commencé à envahir le marché vers 2010. Aucune des marques de fabricant d'appareils photo n'a pu ralentir la conquête de la photographie par les compagnies d'appareils cellulaires.
La technologie cellulaire dépassait la simple téléphonie pour être un outil de photographie avec des caméras intégrées performantes utilisant la technologie de l'ordinateur plutôt que la simple prise de lumière.
Dans mon cas, j'ai débuté dans la photo sur cellulaire avec un simple iPod qui avait les mêmes possibilités qu'un iPhone sans la capacité de communiquer par réseau téléphonique.
Je me suis rapidement procuré un véritable iPhone 5 que je n'ai pas inscrit avec une compagnie téléphonique, mais que j'utilisais uniquement pour sa caméra et ses capacités photo.
Un iPhone est plus petit qu'un appareil photo compact comme le Canon G7XS et sa facilité de transport est sans limites.
Un autre avantage est la discrétion du iPhone. Pour la photographie de rue, il est impossible de passer pour un piéton si on utilise un appareil du genre Nikon F5. Par contre avec un iPhone, j'ai pu photographier dans des endroits que je n'aurais jamais pu avec un appareil conventionnel. Le iPhone est d'une discrétion parfaite pour la photographie dans des endroits publics.

Lorsque la photographie sur film a commencé à céder la place au digital, plusieurs photographes s'inquiétaient de la disparition de leur raison d'être (leur métier d'artisan) et de l'industrie de la photographie comme telle.
Ils avaient raison pour une moitié de l'équation, c'est dire l'exclusivité de leur métier de photographe, mais pas de disparition de la photographie.
Aujourd'hui en 2021, il; n'y a jamais eu autant de photographies prises dans le monde, car les humains de tous pays ont un cellulaire avec caméra. La photographie n'a jamais été autant populaire et accessible.
Il faut ajouter à la technologie cellulaire la présence des médias sociaux dans notre vie quotidienne pour faire de la photographie une activité aussi fréquente et habituelle que l'action de manger ou de prendre un café.
La puissance des caméras sur les appareils cellulaire rejoint de plus en plus la capacité des caméras conventionnelles et bientôt les cellulaires dépasseront les caméras conventionnelles.
N'oublions pas qu'un appareil du genre iPhone est avant tout un ordinateur compact qui traite l'image immédiatement durant sa captation. Un appareil photo conventionnel n'offre pas ce genre de technologie, mais il aurait pu le faire. C'est un manque de vision ou une décision mal calculée qui les a empêchés de le faire.
Aujourd'hui, il est trop tard et tous les fabricants de caméras sont moribonds financièrement.
Mentionnons que Kodak fut le premier à inventer la technologie digital mais l'entreprise ne voulait pas détruire son marché du film. Canon et Nikon ont donc pris la place, mais lorsque les entreprises de cellulaire ont commencé à introduire des appareils photo dans leur téléphone avec le but de réduire la taille encombrante des caméras conventionnelles, ces mêmes fabricants de caméras telles Canon et Nikon ont refusé d'occuper le marché préférant demeurer dans les caméras conventionnelles et croyant ainsi protéger leur marché.
Ce fut la même erreur qu'avait commise Kodak face au numérique.
Aujourd'hui en 2021, Kodak n'est plus dans la photographie; Minolta a été fusionné avec et on parlait à un moment donné que Nikon serait acheté par Sony...
Récemment un magasin d'appareils photo de Montréal commanditait un concours de photos sur cellulaire dans un grand média et j'ai trouvé bien drôle qu'il offrait en prix aux gagnants des équipements (caméras et lentilles) pour photo conventionnelle...






Appareils cellulaires iPhone Apple
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3- LE SOUVENIR PAR LA PHOTO

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Le principal objectif de la photographie est d'immortaliser les images et de créer un souvenir au-delà du moment présent.
Une rencontre de gens; un événement artistique ou sportif; des paysages de vacances; un succès ou une tragédie de notre vie; etc.
Mes premières photos souvenirs furent celles prises de mon père et de ma mère partageant des repas ensemble. Plus tard, ce seront mes deux enfants qui seront au centre de mes photos souvenirs.
La photographie souvenir est la plus romantique de toutes les photographies et elle vient rejoindre directement les gens qui ont vécu les moments captés dans les images.
Les photos souvenirs ne sont pas universelles comme celles des autres catégories, mais elles sont probablement les plus populaires, car la vanité est un défaut, mais peut aussi devenir une qualité...
Le romantisme du souvenir est cependant parfois différent entre l'intention et la réalité.
En effet, je me souviens d'une anecdote à l'époque de mon Instamatic et de la photographie couleur sur diapositives.
C'était mon oncle qui m'avait suggéré de changer du film vers la diapositive en me disant que c'était l'avenir de la photographie. Je m'avais alors acheté un projecteur Kodak Carousel et des chargeurs de montage. J'avais même écrit des textes que j'avais enregistré sur un magnétophone.
Selon mon oncle, le truc était de classer nos diapositives selon un ordre de présentation et de les présenter devant notre famille en groupe. "L'époque était terminé des photos papier et de l'effort de les regarder à la main" disait mon oncle...
Lors de ma première séance de projection, j'avais réuni une dizaine des membres de ma famille dont ma mère qui était l'hôte de la soirée. La projection dura une quinzaine de minutes et lorsque je rallumai les lumières, deux ou trois des invités dormaient fermement dont ma  mère qui prétendait avoir beaucoup aimé la projection et ne s'être assoupie que vers la fin!
Lors d'une autre séance, c'est la lampe du projecteur qui s'est éteinte morte dès l'allumage avec le résultat qu'il n'y avait pas eu de projection pour les invités ce soir là...
Ma passion pour les soirées de diapositives aura durée environ un  an et je suis revenu au film et aux photos papier classées dans des enveloppes du laboratoire de développement .



Mon père et ma mère partageant un repas de Noël (1974)



Mon projecteur Kodak Carousel pour diapositives (1976)


Enveloppes des laboratoire de développement 
des photos papier


Photo par la fenêtre de la maison de mes parents 
en Gaspésie  (1974)


Photo de l'entrée de la route devant la maison de mes parents 
en Gaspésie  (1974)


Mon père dans son atelier de travail  (1974)


Mon père à la chasse  (1974)


Mon père devant mon micro de radio alors que j'étais journaliste 
à la radio locale de Sept-Iles, CKCN - (1975)


Mes deux enfants à Moncton - (1991)


Mes enfants devant le lac à Mont Tremblant - (1993)


Photo de mon père sur laquelle ma mère
avait dessiné des cheveux - (Juillet 1958)
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4 - L' ART DU PORTRAIT

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Pour réussir un bon portrait, la clé du succès est le regard du sujet et la brillance de son âme.
Dans l’art du portrait sur les humains ou les animaux, tout commence par les yeux!
Pour les choses, il faut retrouver le point qui représente l'âme et l'identité de la chose.
Le portrait ne comprend pas uniquement des photos de visages, mais aussi de choses.
Je dirais que la définition d'un portrait est de visionner l'image et de la cadrer en gros plan rapproché.
J'adore prendre des portraits, mais je me suis rendu compte que parfois ce genre de photographie élimine le détail de l'arrière-plan de l'image pour se concentrer uniquement sur l'avant-centre de l'image qui s'offre à nous. Cela s'appelle réduire la profondeur de champ (une ouverture de la lentille élevée (genre 1.8 ) et augmentation de l'effet flou en arrière-plan.
La fonction "portrait" sur les appareils cellulaires est particulièrement sensible à cet égard et souvent je préfère me rapprocher de l'image, mais conserver la fonction "photo" sur mon appareil surtout lorsque je veux aussi voir les détails du fond de l'image.
Je considère le portrait comme un exercice de rapprochement avec le sujet et non un exercice artistique.
Par ailleurs, sur les appareils cellulaires, il est possible en mode portrait d'ajuster la lumière et de choisir l'effet studio, c'est-à-dire un fond noir derrière le sujet (voir photo ci-dessous Ulysse et le rocher).




Bernard Bujold -Auto portrait sur film (1998)


Bernard Bujold - Autoportrait iPhone (2020)


Ulysse et le rocher (Décembre 2020)


Rouleau de broche sur rocher (Décembre 2020)
«
C'tait ben avant d'comprendre que tout 
Tient avec d'la broche » 
Chanson Sur mon épaule
- Les Cowboys fringants


Écureuil devant la caméra... (Décembre 2020)
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5 - L' ART DU PAYSAGE

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Photographier un paysage est le genre qui rejoint le plus l’art traditionnel des artistes peintres. D’ailleurs le légendaire photographe Henri Cartier-Bresson était avant tout un peintre dans l’âme et il aimait mieux dessiner que la photographie.
La photographie de paysage est magique, car elle communique directement avec la planète et sa civilisation.


Bernard Bujold et Ulysse au Musée des Beaux-arts de Montréal 
devant leurs deux toiles préférées:

"CLAIR DE LUNE" par Henri-Joseph Harpignie et 

"PAYSAGE (AVEC MARINE)" par Georges Michel.

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Échantillons de photos paysage
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6 - L' ART DU REPORTAGE

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Pour réussir un reportage photographique, il y a deux conditions de base et essentielles.
Être présent devant l'action au moment où celle-ci se produit; et être placé au bon endroit physique face à cette action.
J'ai réalisé plusieurs reportages photo et la première chose que je détermine dès mon arrivée sur le lieu de l'événement est de déterminer quel est le meilleur endroit qui me permettra d'obtenir une image unique, complète et surtout différente de celles de mes collègues photographes présents sur place.
Plusieurs de mes reportages photo ont été dans le domaine du sport (chevaux et tennis) mais j'adore aussi couvrir les conférences de presse de personnalités, en particulier les artistes (cinéma et spectacle).
L'important comme photographe est d'imposer notre vision de l'image et ne jamais se laisser le sujet déterminer l'angle et le message de la photo.
Autant en photographie que dans la presse écrite ou parlée, les auteurs de l'événement vont vouloir imposer le thème. Le bon journaliste impose son propre thème.
Il est plus facile pour un photographe de choisir ses angles de captation, car vous avez la caméra en contrôle dans vos mains et avec votre regard.
Personnellement j'ai aussi une autre règle de jeu: je ne photographie jamais un sujet que je n'aime pas.
Le magnat de la presse québécoise Pierre Péladeau m'avait dit un jour: " Je n'accorde jamais d'entrevue à un journaliste qui ne m'aime pas, car il va trouver des façons de me critiquer dans son reportage, peu importe toute la bonne volonté de ma part!"
C'est la même chose en photographie. 
Si un photographe n'aime pas un sujet, il va orienter instinctivement sa caméra pour le faire mal paraître.
Selon moi. la photographie est fondamentalement un geste d'amour et je m'assure que ce soit toujours le cas avec mes photographies.

Malgré tout il m'est arrivé des incidents et je me souviens d'une anecdote en décembre 2020 alors que c'était la crise du Coronavirus et que tous les magasins étaient fermés. Je voulais photographier les sans abris installés dans des tentes de fortune devant le magasin La Baie à Montréal. J'ai dû m'enfuir en courant car un sans abris a commencé à me crier des injures et il se dirigeait vers moi pour m'attaquer physiquement...
Je me suis réfugié vers un petit parc à proximité et j'ai invoqué la protection du Saint Frère André...

Je n'aurais pas pu être un photographe de guerre et je ne photographie jamais les accidents ou les gestes de violence.























Bernard Bujold - Tennis Coupe Rogers -

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7 - MES MEILLEURES IMAGES  

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J'aime dire que ma meilleure image à vie est celle que je prendrai aujourd'hui...
En journalisme, nous avons cette philosophie que notre valeur en tant que journaliste est égale à la qualité de notre prochain reportage.
Cette philosophie s’applique aussi à la photographie.
Plusieurs de mes photographies m'ont particulièrement satisfait et rendu heureux, mais je ne suis pas du genre à les considérer mes oeuvres définitives.
Le jour où l'on cesse de penser à sa prochaine photographie, c'est alors aussi la fin de notre passion!
Néanmoins, si j'avais à choisir quelques photos pour une exposition, je choisirais cinq ou six images parmi les plus significatives pour moi et auxquelles j'ajouterais une dizaine de photographies récentes prises durant l'année précédant l'exposition.
Voici mon plan d'une exposition virtuelle, que je vous offre.
Bonne visite...

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Échantillons de six de mes meilleures photos
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PHOTOS NUMÉRO 1
Ma photo de Brian et Mila Mulroney prise à Baie-Comeau le 4 septembre 1984 
m'est particulièrement importante.
Cette image marque la victoire électorale canadienne à laquelle j'avais directement 
collaboré comme organisateur. 


PHOTO NUMÉRO 2
Cet autoportrait a été pris quelques minutes après mon entrevue pour un poste
dans le cabinet du premier ministre du Canada Brian Mulroney.
J'étais alors habité par le rêve de changer le monde ...
(Octobre 1984 - Ottawa)




PHOTO NUMÉRO 3
Ma photo de Pierre Péladeau avec une actrice invitée pour saluer son anniversaire est une 
des rares photos que j'ai prise du magnat de la presse québécoise alors
que j'étais son adjoint personnel de 1991 à 1997.
(10 avril 1997 - Montréal)


PHOTO NUMÉRO 4
Cette photo de la cavalière, l'amie personnelle qui m'a initié aux chevaux, 
m'avait été inspirée par les oeuvres du peintre Degas.
Tout l'art de photographie est une création artistique inspirée au départ
par les peintres.



PHOTO NUMÉRO 5
J'ai pris de nombreuses photos de ce cheval qui était devenu mon meilleur ami.
Cette photo le représente en pleine liberté et heureux de courir.
(Été 2004 - Bromont)


PHOTO NUMÉRO 6
Cette photo de l'actrice Isabelle Adjani a été prise au 
Festival des films du monde de Montréal.
Isabelle Adjani avait aimé mes photos et elle en avait publié une dizaine sur son site
internet. Ce geste m'avait alors inspiré pour développer et lancer
le site internet LeStudio1.
(Septembre 2004 - Montréal)


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Échantillons d'une dizaine de photos récentes prises 
durant l'année 2020
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Photos avec des figurines pour illustrer l'exploration vers la planète Mars


Photo de la Lune avec mon appareil Canon G3 Zoom 600 MM


Auto-portrait


Petite voiture miniature représentant le président américain Donald J. Trump




Les trois photos du manoir ci-dessus ont été prises à partir de la fenêtre du gymnase 
où je m'entrainais à l'hiver 2020, en pleine crise du Coronavirus.
Elles représentent bien à la fois l'isolation et l'espoir du monde.


Autoportrait de ma vaccination avec le vaccin Pfizer contre le Coronavirus
reçue au Palais des Congrès de Montréal
le 16 mars 2021- 17 heures 
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LIEN VERS MES PHOTOS RÉCENTES SUR FLICKR

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8 - L' AVENIR DE LA PHOTOGRAPHIE

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L’art de la photographie est fondamentalement la gestion de la lumière avec un appareil photo.
La lumière est comme la pluie.
Il y a de faibles pluies et des orages de pluie torrentielle.
C'est ainsi avec la lumière.
Il y a de faibles lumières et des lumières brillantes.
La lumière est constituée d'ondes électromagnétiques, caractérisées par sa longueur dans le vide et correspondant à un niveau d'énergie et d’intensité.
Llumière se propage toujours à la même vitesse.
On dit d'une lumière qu'elle est forte lorsqu'elle est directe et n'a pas été diffusée ou subit de diffraction. Elle se propage alors en ligne droite et se caractérise par des ombres denses avec un fort contraste et des contours nets. C'est le cas par exemple de la lumière du soleil le jour par temps clair. Une source de lumière peut aussi être diffuse et indirecte.

L'art de la photographie est de savoir lire la lumière et de l'enregistrer correctement sur son appareil. Les appareils photo sont cependant devenus très perfectionnés et ils effectuent pour nous presque tous les calculs de la gestion de la lumière au point de créer des images qui n'ont rien à comparer avec la réalité.
Les téléphones cellulaires sont devenus de puissants ordinateurs qui effectuent une multitude de calculs et prise de lecture de la lumière. Un iPhone peut prendre en quelques fractions de seconde des millions de lectures pour en arriver à la création d'une image.
Nous sommes très loin de l'époque de ma mère avec son appareil Brownie et un film noir et blanc qu’elle envoyait par la poste au laboratoire pour développement et impression sur papier, et qu'elle pouvait visionner une ou deux semaines plus tard...

La façon de capter les images est également transformée et personnellement je suis un fan des alimentations Live stream et des captures d’écran sur iPad. La qualité du visuel varie d’une source à l’autre mais j’ai pris d’excellentes images de Donald Trump et du Pape François avec un iPad à partir d’une projection internet Life stream.
Une autre nouvelle façon de capter des images est avec un drone auquel est attachée une caméra. 
La technologie des applications est également incroyable. À titre d’exemple, je mentionnerai le 
« remplacement du ciel » de Photoshop qui permet de créer un ciel selon notre désir. Par ailleurs, autant Photoshop que d’autres comme Faceapp offrent un outil pour vieillir, rajeunir ou faire sourire une personne...
Photoshop a même développé une technologie qui permet de multiplier le degré de pixels d’une photo et faire par exemple d’une photo de 12 millions de pixels une version de 40 millions de pixels. Cela signifie que le capteur de l’appareil photo est de moins en moins important au niveau de sa capacité et sa puissance. 

Il est évident que l’art de la photographie sera totalement transformé au cours des prochaines années et que les limites de la création seront encore repoussées.

Mais ce qui ne sera jamais remplacé est la passion et l'amour de l'image par les adeptes de la photographie.

 Bernard Bujold - 28 juin 2021



Bernard Bujold transformé en vieil homme 



Ulysse devant un ciel mystérieux...


Pape François - Capture d'écran ( Fox News Messe de Pâques 14 avril 2020)


Donald J. Trump - Capture d'écran (Fox News - Avril 2020)
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9 - SUGGESTIONS DE LECTURE

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10 - LIENS AUTRES SECTIONS

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LIEN SECTION 2 - LES IMAGES
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LIEN SECTION 3 - LA LISTE
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LINK TO THE ENGLISH EDITION
OF THE BOOK

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